Transcription

M. Smith et de nous inviter à déjeuner mais il est vrai de direct, néanmoins, qu’il n’est pas parti tout entier pour nous.

Mon beau-frère nous avait entretenu plus une fois dans ses lettres de M. George Smith, hommes excellent et respectable, que des rapporte intime et l'avaient mis a portée d'apprécier et d'aimer, et qui traitait Charles comme s'il eut été son fils. Cet ami si précieux remplit eu l'officier de Grand Juge. C'est le chef de la magistrature, la première personne de la colonie après le Gouverneur. Des avant notre arrive, M. Smith avait exprimé à Charles la volonté famille que nous ne logeassent pas ailleurs que chez lui. Quoique il fut à sa maison de campagne, au moment où l'on sut que l'Uranie avait jeté l'ancre au Port Louis; il était revenant occupe de faire préparer notre appartement, avant que j'eusse pu mettre pied à terre. Charles était charge de nous faire part des intentions obligeantes de M. Smith et de nous inviter à déjeuner, mais le premier jour devant être tout entier consacré aux visite d'étiquette du commandant au Gouverneur, et des cérémonies sans fin, qui ont lieu en pareil cas; ce ne fut que le second jour que nous pûmes répondre a l'invitation du Grand Juge. Son palanquin et 4 noirs m'attendait sur la plage à l'endroit de débarquement.

Mais vous ne savez peut être pas ce que c'est qu'un palanquin. C'est une sorte ce chaise a portant forme de treillages ou de rideaux jusqu'à hauteur d'appui, on est assis la dedans comme par terre; et, au moyen de deux bâtons que 4 noirs soutenaient chacun sur une
 

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